Assurance en ligne : système intéressant pour les professionnels
Ménager les réseaux de terrain est le souci premier des assureurs traditionnels d’où leurs oppositions à l’assurance en ligne. Mais ne pas considérer les plus de 30 millions d’internautes français serait nier un potentiel d’assurable et une part de marché considérable. Les traditionalistes, souvent des géants du secteur, se sont donc lancés à faire des offres d’assurance sur internet.
Bien que confidentielle à ses débuts, trois années se sont succédé et la quantité de contractants sur l’autoroute électronique a doublé. L’assurance en ligne compte actuellement plusieurs centaines de milliers de souscripteurs : plus de 800 000 en 2009. Ces chiffres sont indiqués par les assureurs eux-mêmes et les comparateurs. La concurrence, au début fébrile, est devenue très féroce.
Les comparateurs y sont pour quelque chose. Ils confrontent certaines offres d’assurance. Le prix est leur principal critère. La souscription d’assurance en ligne proposée par les dinosaures du secteur est analogue à ceux offerts sur les réseaux de terrain ou par l’archaïque téléphone.
D’autres poids lourds veulent se démarquer et ont créé un label ainsi que des sites spécialisés. Ces groupes ciblent une clientèle qui leur était plus ou moins inaccessible auparavant. Des clients appartenant à une classe socioprofessionnelle plus élevée, notamment jeune et urbaine.
Assurance en ligne : économie palpable pour le souscripteur
Créer des modèles en ligne allège le coût, de nombreux avantages s’en suivent, dont la réduction des tarifs proposés. Selon quelques assureurs en ligne, pour un contrat d’assurance automobile, on peut, par exemple, réaliser une économie de 30 % sur sa facture si l’on souscrit en ligne. Des contrats habitation ou santé sont également suggérés. On peut même économiser jusqu’à 40 % si le client n’a pas passé en revue son prix à longue échéance.
Quoique l’assurance en ligne connaisse un essor spectaculaire, plusieurs grands acteurs, la plupart du temps des mutualistes, dédaigne encore l’idée de généraliser et de proposer des clauses spécifiques sur internet.
Ménager les réseaux de terrain est le souci premier des assureurs traditionnels d’où leurs oppositions à l’assurance en ligne. Mais ne pas considérer les plus de 30 millions d’internautes français serait nier un potentiel d’assurable et une part de marché considérable. Les traditionalistes, souvent des géants du secteur, se sont donc lancés à faire des offres d’assurance sur internet.
Bien que confidentielle à ses débuts, trois années se sont succédé et la quantité de contractants sur l’autoroute électronique a doublé. L’assurance en ligne compte actuellement plusieurs centaines de milliers de souscripteurs : plus de 800 000 en 2009. Ces chiffres sont indiqués par les assureurs eux-mêmes et les comparateurs. La concurrence, au début fébrile, est devenue très féroce.
Les comparateurs y sont pour quelque chose. Ils confrontent certaines offres d’assurance. Le prix est leur principal critère. La souscription d’assurance en ligne proposée par les dinosaures du secteur est analogue à ceux offerts sur les réseaux de terrain ou par l’archaïque téléphone.
D’autres poids lourds veulent se démarquer et ont créé un label ainsi que des sites spécialisés. Ces groupes ciblent une clientèle qui leur était plus ou moins inaccessible auparavant. Des clients appartenant à une classe socioprofessionnelle plus élevée, notamment jeune et urbaine.
Assurance en ligne : économie palpable pour le souscripteur
Créer des modèles en ligne allège le coût, de nombreux avantages s’en suivent, dont la réduction des tarifs proposés. Selon quelques assureurs en ligne, pour un contrat d’assurance automobile, on peut, par exemple, réaliser une économie de 30 % sur sa facture si l’on souscrit en ligne. Des contrats habitation ou santé sont également suggérés. On peut même économiser jusqu’à 40 % si le client n’a pas passé en revue son prix à longue échéance.
Quoique l’assurance en ligne connaisse un essor spectaculaire, plusieurs grands acteurs, la plupart du temps des mutualistes, dédaigne encore l’idée de généraliser et de proposer des clauses spécifiques sur internet.
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